lundi 3 octobre 2011

LES RIPOUX

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905,

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte !



Qu’elle soit cérébrale ou matérielle,
la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)

GENS QUI RIENT. GENS QUI PLEURENT.
.






LES RIPOUX




Affaire privée

Les Ripoux

Argote et Millour


AFFAIRE PRIVÉE

.

Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905,

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte !



Qu’elle soit cérébrale ou matérielle,
la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)

GENS QUI RIENT. GENS QUI PLEURENT.
.






AFFAIRE PRIVÉE




Objet : 2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Maitre ……………

…………………….

92 100 BOULOGNE


WSJ/NB

Objet : Affaire AVISTO
2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Monsieur,

Votre courrier du 29 novembre 2011,

Les incidents à cette adresse perdurent depuis plus de trente ans. Pour fournir le dossier dans son intégralité, il me faudrait louer un transporteur et je pense que cela ne servirait à rien. Néanmoins, j’ai installé sur internet une grande partie de l’affaire.


Concernant monsieur AVISTO
Depuis qu’il occupe cette adresse, dans le cadre d’une pseudo-association loi 1901, association qui n’a jamais existée, monsieur AVISTO se livre à diverses activités pas franchement légales.

En tant que propriétaire et donc responsable, j’ai pris soin de signaler régulièrement à la Préfecture ce que je constatais de ces activités douteuses. La Préfecture a souvent ignoré mes courriers, quelquefois a répondu hors sujet, quelquefois aussi a répondu par un courrier d’intimidation. Néanmoins, ces réponses ont le mérite d’exister.

Voila quelques temps, en mai 2011, un incident de plus m’a contraint de fouiller dans les activités de ce personnage. Je suis tombé sur une véritable mafia africaine. Je pense avoir suffisamment exposé les faits dans ma plainte au Procureur de la République du 12 novembre 2011.


Les services de police de Vitry sur Seine
Il est totalement inutile d’espérer porter la moindre plainte au commissariat de Vitry. Les policiers se limitent à enregistrer des mains courantes et cela, quelque soit les faits. Donc, pas de plaintes, pas de pénales !

Selon les policiers, c’est à moi qu’il appartient d’engager une procédure d’expulsion de ces gens. Et, toujours selon les policiers, cette procédure au civile va gommer toutes les affaires pénales qui trainent à cette adresse.


La procédure au civile
Le problème de cette procédure, c’est qu’il y a eut un précédent.
Dans le passé, nous sommes dans les années 1970, une procédure d’expulsion va se terminer mal.

À la fin du jugement figure une clause qui stipule que si nous n’avons pas repris possession de la maison dans les trois mois qui suive le départ de l’occupante, le jugement devient nul.


Naturellement, l’occupant va abandonner les lieux. Faire retirer le compteur électrique, etc. Mais, ne va pas rendre les clefs !

Constatant l’anomalie d’occupation et ne sachant que penser, je prends la décision d’aller constater par moi-même. Je constate que la maison n’est pas fermée et qu’elle n’est plus occupée (compteur électrique retiré). Cela me vaudra deux plaintes pour violation de domicile.

Néanmoins, l’occupante indélicate ne pourra plus faire valoir la clause litigieuse qui lui aurait permis de revenir s’installer dans les lieux. On en restera donc là.

À l’époque, mon père est encore de ce monde. Il a besoin de cette maison pour se loger pendant la période hivernale. Je vais devoir remettre cette maison en état et prendre à ma charge les dégâts importants causés par la locataire (et peut être aussi par quelques spéculateurs).

C’est seulement quelques temps plus tard que je vais réaliser que pour faire ces mêmes réparations, l’occupante indélicate, fonctionnaire au ministère des finances, s’était fait faire des devis de complaisances pour un montant pratiquement égal à la valeur de la maison.
Et que, cette personne bénéficiait également des conseils du service juridique de ce ministère.

Cela pour expliquer que, dans le contexte particulier de cette maison, une procédure au civile ne même nulle part. Les spéculateurs cités dans la plainte au Procureur de la République gagnent aux désordres et aux vandalismes. CQFD


La plainte au Procureur de la République du 12 novembre 2011
Dans cette plainte, nous avons omis par convenant de mentionner le curé de Vitry sur Seine.
Ce personnage qui ne se prive pas d’intervenir dans cette affaire, occupe une position stratégique dans le business des sans-papiers (certainement dans bien d’autres choses encore).

Le concernant, en matière d’Africains en situation irrégulière ou pas, on ne peut prononcer le mot : « racket ». Le curé fait dans : « la solidarité ». Ce n’est qu’une question de vocabulaire.

Cela pour conclure qu’à Vitry sur Seine, municipalité communiste, il est bien difficile de savoir où se trouve l’autorité. Est-ce le Préfet ? Le Procureur de la République ? Ou bien, le curé ?


Veuillez agréer, monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.


P.J. :
- Un double original de notre plainte au Procureur de Créteil du 12 novembre 2011 ;

- La copie d’une affichette apposée dans la cour du 2, rue Marat. (Comprendra qui pourra) ;

- La copie d’une affiche d’insultes publiques, ciblant madame AVISTO, apposée dans le hall d’entré du 107, av du Groupe Manouchian. (On imagine l’ambiance que monsieur AVISTO et ses amis font régner à cette adresse) ;

- Une copie du récépissé de Main courante du 04 10 2011 (Coups et blessures) ;

- Copies de deux réponses aléatoires de la Préfecture ;

- Un double original de notre courrier au Maire de Vitry sur Seine du 10 10 2011 ;

- Un double original de notre courrier au Maire de Vitry sur Seine du 26 10 2011 ;

- Un double original de notre courrier au Préfet du Val de Marne du 04 10 2011.


La niche à chien fait de la résistance.
http://www.euro-injustice101.blogspot.com/

Monsieur le Procureur de la République

TGI de Créteil

Rue Pasteur Valléry Radot

94 000 CRETEIL



Objet : Plainte contre X

Affaire AVISTO

2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Monsieur,

Cela fait plus de trente ans que les désordres perdurent à cette adresse. Dans le passé, cette adresse à fait par deux fois la « une » des journaux (En décembre 1987, puis en juillet 1999).

Cela peut paraitre beaucoup, mais il semble qu’il existe aujourd’hui de nouveaux risques d’incidents. Si un calme très relatif a été remarqué ces dix dernières années, les animosités viennent de se réactiver.

Nous ne l’avons jamais caché. Cette maison a fait l’objet d’une succession de vandalismes depuis trente ans. Elle n’est pas habitable en l’état. Néanmoins, monsieur AVISTO loue cette maison pour y exercer divers trafics.
En leur temps, nous avons informé la Préfecture de ce que nous savions de ces trafics. (On ne sait pas tout).


À cette adresse, Monsieur AVISTO se comporte tel un chef d’une entreprise imaginaire à multiples activités. On peut préciser : « Multiples trafics » ;
- Restauration et vente boissons alcoolisées ;
- Activité de mécanique et casse automobile ;
- Transport et entrepôt de divers objet et produits dont l’origine est souvent douteux.
- Racket sur ses compatriotes africains.

Ce qu’il en est du racket sur ses compatriotes de préférence en situations irrégulières.
Il semble que les victimes soient inquiétées pour leur famille resté en Afrique et qu’elles ne puissent réagir.
On se doit de rappeler qu’à la suite du bain de sang du 02 juillet 1999, des représailles importantes ont eu lieu en Afrique.

Bref ! Monsieur AVISTO se comporte tel un chef de tribu. Chaque membre de sa tribu se doit de lui obéir au doigt et à l’œil. Il considère aussi que tout ce qui appartient à un membre de sa tribu est son bien propre. Tout cela sans l’accord du propriétaire des lieux que nous sommes.


L’enjeu du 02 de la rue Marat
Cette maison est bâtie sur un terrain situé dans l’angle de deux rues, au centre d’une zone industrielle. Tout projet à cet endroit passe par la possession de ce terrain.
Ce terrain sans valeur apparente intéresse particulièrement l’entreprise PONTICELLI, la ville de Vitry, certainement aussi quelques promoteurs. Le nom d’une banque importante a été cité.

Voila quelques années, le Maire de Vitry a engagé contre nous une procédure judiciaire que l’on ne peut qualifier.
Monsieur AVISTO et son oncle Diet MOZEMBA avaient à l’époque agrandi le garage pour y exercer un de leurs trafics. Ce garage était initialement prévu pour un usage automobile. Il est vrai que l’architecture de cette nouvelle bâtisse était à l’africaine et que tout cela faisait franchement « bidon ville ».

Le Maire de Vitry sur Seine, monsieur Alain AUDOUBERT, n’a pas pensé à s’adresser au Préfet. La procédure ne ciblait pas non plus les auteurs de cette construction. La procédure ciblait le propriétaire que nous sommes.

Selon le Maire de Vitry, le propriétaire devait se substitué à l’autorité pour faire démolir cette bâtisse. L’intervention a été rendue impossible, les occupants des lieux ayant dit « NON ! ».

Le Préfet saisi par nous même, par la suite, n’a pas cru utile de donner suite. Il est vrai qu’entre temps, l’aspect de cette bâtisse s’était un peu amélioré.

La conclusion sur cette procédure judiciaire, qui s’étale sur deux ans, fait apparaitre que la motivation du Maire de Vitry n’était pas la bâtisse bricolée mais qu’il espérait s’emparer à bon compte du terrain.
Que, pour parvenir à ses fins et payer les avocats, le Maire de Vitry sur Seine, Alain AUDOUBERT, n’a pas hésité à faire usage de l’argent public.

Veuillez agréer, monsieur, l’expression de mes sentiments respectueux.


P.J. : - La copie d’une affichette apposée dans la cour du 02, rue Marat. (Comprendra qui pourra).

- La copie d’une affiche d’insultes publiques, ciblant madame AVISTO, apposée dans le hall d’entré du 107, av du Groupe Manouchian. (On imagine l’ambiance que monsieur AVISTO et ses amis font régner à cette adresse).

- Une copie du récépissé de Main courante du 04 10 2011 (Coups et blessures).

- Un double original de mon courrier du 26 octobre 2011 à Monsieur le Maire de Vitry.

- Un double original de mon courrier du 28 septembre 2011 à Monsieur le Préfet du Val de Marne.

-
La juge des affaires familiales
http://euro-injustice101.blogspot.com/2011/05/la-juge-des-affaires-familiales.html

Monsieur le Procureur de la République

TGI de Créteil

Rue Pasteur Valléry Radot

94 000 CRETEIL



Objet : Plainte contre X

Affaire AVISTO

2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Monsieur,

Suite à notre plainte du 12 novembre 2012 nous venons d’être convoqué au commissariat de Paris 9ème par madame RAMBLES.

À aucun moment l’objet de cette plainte n’a pu être débattu. Aucune déposition n’a été rédigée.
C’est ainsi que l’agression du 10 octobre 2011 n’apparait nul-part.
De même, nous n’avons pu joindre au dossier le résumé de l’affaire préparé à cet effet. (Résumé ci-joint)


Un langage de sourds
Madame RAMBLES a cru bon d’argumenter que PONTICELLI était mort. Que vient faire la mort de Lazare PONTICELLI dans ce dossier ?

En revanche, madame RAMBLES et son collègue prodiguent des conseils juridiques pas très clairs et surtout sans aucun rapport avec la situation actuelle.

Veuillez agréer, monsieur, l’expression de nos sentiments respectueux.

Bernard MONNIER


P.J. :
Une copie du résumé daté du 07 décembre 2011 ;
Un double original de notre courrier à la Préfecture daté du 23 septembre 2011 (À ce jour, aucun courrier à la Préfecture n’a fait l’objet d’une suite).

Monsieur Alain AUDOUBERT

Maire de Vitry sur Seine

2, avenue Youri-Gagarine

94 400 VITRY sur SEINE



Objet : Affaire AVISTO

2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Monsieur,

Nous venons de recevoir sur ce dossier un courrier non-référencé provenant de la Préfecture.
Ce courrier porte une question hors sujet qui fait suite à notre intervention du 23 septembre dernier.
Nous vous faisons suivre ce courrier litigieux pour que vous puissiez y apporter la réponse qu’il vous conviendra.


Origine de l’intervention
Depuis plusieurs années, une personne que l’on ne connait que sous le prénom de Félicien se livre à une activité à temps plein de mécanique et casse automobile au 2, rue Marat. Faute de place dans la cour, cette activité a souvent débordé sur le trottoir de la rue Marat.

Sur Félicien, les avis sont partagés. Certains voient en lui un pauvre type qui survit grâce au RSA et quelques petits travaux. D’autres repèrent une activité pas trop légale mais très lucrative.

En principe, lorsque l’on découpe en morceaux la caisse d’un véhicule automobile et que l’on en fait disparaitre les morceaux, cela peut se justifier par quelque chose qui ressemble à un trafic de Carte grise.

Avec témoin, nous sommes allés porter plainte au Commissariat de Vitry. Nous y avons été très mal reçus. La fonctionnaire de police, madame DELISTIENNE Céline, a refusé d’enregistrer notre plainte.

Elle s’est limitée à rédiger une déposition fantaisiste sur une Main-courante et a refusé de corriger les invraisemblances. Devant témoin, nous avions le choix de signer ou madame DELIESTIENNE déchirait la déposition.
C’est à la suite de cette démarche ratée que le courrier du 23 septembre dernier pour la Préfecture a dû être rédigé.

Depuis cette date, Félicien a déguerpi de la rue Marat. Il est allé provisoirement poursuivre ses activités ailleurs. En effet, Félicien a laissé sur place du matériel qui laisse à penser qu’il a l’intention de revenir.

Selon ses propres dires, Félicien disposerait de deux terrains sur lesquels il entrepose des véhicules automobiles. Nous ne connaissons pas l’emplacement de ses terrains. En revanche, pour y avoir fait des transports avec ses camions, monsieur AVISTO en connait les adresses.


Concernant monsieur AVISTO
À la rue Marat, monsieur AVISTO se livre à divers trafics. Il affectionne aussi le racket sur ses compatriotes africains (souvent en situation irrégulière). Cela à commencer sur sa propre concubine que nous ne connaissons que sous le prénom de Céline.

Certains observateurs pensent que l’épicentre de ces activités mafieuses se trouve en Afrique et que les personnes rackettées ont peur pour leur famille restée en Afrique.

Autour de monsieur AVISTO gravit une bande d’individus africains parfaitement soudés. Ces gens obéissent au doigt et à l’œil à AVISTO.
On ne peut les connaitre tous mais l’on peut citer : « Félicien et Kobé ». (Pour Kobé, lui aussi, la violence est un outil).

Il faut aussi ajouter au lot, l’oncle de monsieur AVISTO, un certain MOZEMBA Diet.
Monsieur MOZEMBA a habité quelques temps à la rue Marat. Il est toujours au fait des commerces illicites. Il est parfaitement capable d’organiser divers trafics. Il est aussi capable de dicter les représailles sur les personnes en Afrique.

AVISTO et MOZEMBA ont tous deux un sérieux passé judiciaire. Pour ce que nous connaissons : Quatre ans de prison pour AVISTO, deux ans pour MOZEMBA.


Le courrier de la Préfecture
En conséquence, nous vous faisons suivre le courrier non-référencé du 07 octobre 2011 de la Préfecture, qui porte une question hors sujet, pour que vous puissiez y donner la suite qu’il vous conviendra.

Ce courrier est rédigé de telle sorte qu’il peut y avoir confusion entre la rue Marat d’IVRY-SUR-SEINE et celle de VITRY.

Il peut être surprenant de constater que les deux fonctionnaires de la Préfecture du VAL de Marne, qui ont travaillé sur ce courrier non-référencé, ne savent pas que la commune de IVTRY-SUR-SEINE n’existe pas.

À toutes fins utiles,
Nous vous rappelons notre courrier du 10 octobre 2011.

Veuillez agréer, monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.


P.J. :
- Un double original de notre courrier du 23 septembre 2011 à Monsieur le Préfet du Val de Marne.
- Les pièces attenantes.
- une copie du récépissé de main courante du 04 10 2011 (coups et blessures).

Monsieur Pierre DARTOUT
Préfet du Val de Marne
28 septembre 2011


Suite à mes courriers du 15 juillet, du 11 aout, du 02 septembre, et du 23 septembre 2011.

Cette affaire qui concerne monsieur AVISTO n’est plus à présenter. Les incidents s’enchainent chaque semaine. Lorsque je viens récupérer l’argent du loyer, la démarche fait systématiquement l’objet d’un appel téléphonique au commissariat de Vitry sur Seine.

Lundi dernier, le 26 septembre 2011, avec la personne qui se charge de régler les loyers, nous pensions avoir trouvé la bonne formule. (Je connais cette personne que sous le prénom de Céline).
Le rendez-vous avait été pris à 13 heures et la transaction devait se faire directement de main à main. Malheureusement, monsieur AVISTO était présent lui aussi.

Céline m’a versé l’argent habituel. J’ai rédigé le reçu en conséquence. C’est alors que monsieur AVISTO est intervenu.

Monsieur AVISTO a tenu un propos délirant puis à prétendu que cet argent était le sien ???
Il a exigé que je lui rende son argent. Il s’est emporter, s’est montré très agressif puis a prononcé : « Rends moi mon argent ! ». « Si tu ne me rends pas mon argent, tu ne sorts pas ! ».

Il n’est pas utile de répéter l’ensemble des propos de monsieur AVISTO. La menace était sérieuse. J’ai téléphoné au commissariat et c’est par l’intervention des policiers que j’ai pu partir.


Le lendemain, je suis allé déposer au commissariat.
Selon les policiers, il n’y a rien de pénal dans cet évènement puisqu’il n’y a pas eut de violence physique. La déposition s’est donc encore limitée à une Main Courante sans effet pénal.

Toujours selon les policiers, c’est de ma faute. Je devrais engager une procédure au civil et selon eux, toutes les affaires pénales qui pendent à cette adresse depuis des années seraient balayées d’un coup de baguette magique.


La procédure au civil consiste en une demande d’expulsion des locataires.
Dans le passé, cette procédure n’a jamais abouti. Les juges du civil sont enclins à servir les intérêts des gros spéculateurs.
La parcelle du terrain est située à l’angle de deux rues au centre d’une zone industrielle. Ce terrain est convoité par l’entreprise Ponticelli, la ville de Vitry et quelques autres spéculateurs. (Le nom d’une grande banque a été également prononcé).


L’argent du loyer
La dernière fois, Céline a encore payé avec un billet de cents euros. Quand on sait la façon dont on est suspecté lorsque l’on écoule de tels billets, on peut se poser des questions.

Comment ces billets parviennent-ils entre les mains de personnes qui gagnent le SMIG, soit bénéficient du RSA ? Naturellement, il ne faut pas soulever la question au commissariat de Vitry. Les flics se mettent à hurler que cela ne les intéresse pas.

Pour mémoire, mes courriers du 15 juillet et du 11 aout, du 02 septembre, et du 23 septembre 2011.


P.J. : Une copie de récépissé de Main Courante concernant Monsieur AVISTO.
Un double original de la dernière quittance arriéré-loyer (15 juillet 2010 au 14 aout 2010).

Monsieur le Premier Ministre
Hôtel Matignon
Le 26 septembre 2011

Cela fait plus de trente ans que les désordres perdurent à cette adresse. Dans le passé, cette adresse à fait par deux fois la « une » des journaux (En décembre 1987, puis en juillet 1999).

Cela peut paraitre beaucoup, mais il semble qu’il y ait encore un risque de renouvellement.

Si un calme très relatif a été remarqué ces dix dernières années, les provocations viennent de se réanimer.

Monsieur le Préfet du Val de Marne est tenu régulièrement informé des différents désordres à cette adresse. Pour autant, les courriers restent sans aucun effet.


Avec le recule du temps, on connait aujourd’hui l’origine de ces incidents.
Si la maison modeste est construite sur une parcelle de terrain sans valeur apparente, ce terrain (à l’angle de deux rues) se trouve au centre d’une zone industrielle.
La possession de ce terrain est incontournable à toute activité commerciale ou industrielle sur cet emplacement.

Ce terrain est particulièrement convoité par l’entreprise Ponticelli, la ville de Vitry et peut être aussi quelques promoteurs.

Il semble que cette adresse risque de faire l’objet d’une troisième « une » des journaux dans un avenir proche.


P.J. : Un double original de mon dernier courrier à Monsieur le Préfet du Val de Marne.
La juge des affaires familiales
http://euro-injustice101.blogspot.com/2011/05/la-juge-des-affaires-familiales.html

Monsieur le Premier Ministre

CABINET

Hôtel Matignon

75 007 PARIS


CAB IV/4 – IM/
R142580.03. 1


Objet : 2, rue Marat à Vitry sur Seine, 94400


Monsieur,

Il semble invraisemblable que pour espérer faire aboutir une affaire ordinaire, il faille en référer au premier Ministre.

À ce jour, le Préfet du Val de Marne n’a encore donné aucune suite à nos démarches.
Nous n’avons reçu qu’un courrier non référencé qui posait une question hors sujet sur un hypothétique problème d’environnement dans le cadre d’un site classé ? En quoi sommes nous concernés ?
De plus, ce courrier prête à confusion entre la rue Marat d’IVRY sur Seine et celle de VITRY.

Pour information, nous vous faisons parvenir une copie de ce courrier litigieux ainsi qu’un double original de la plainte que nous avons finalement fait parvenir au Procureur du TGI de Créteil.


Avec le recule du temps, on connait aujourd’hui l’origine de ces incidents.
Cela fait plus de trente ans que les désordres perdurent à cette adresse. Dans le passé, cette adresse à fait par deux fois la « une » des journaux (En décembre 1987, puis en juillet 1999).

Si la maison modeste est construite sur une parcelle de terrain sans valeur apparente, ce terrain (à l’angle de deux rues) se trouve au centre d’une zone industrielle.
La possession de ce terrain est incontournable à toute activité commerciale ou industrielle sur cet emplacement.

Ce terrain est particulièrement convoité par l’entreprise Ponticelli, la ville de Vitry et peut être aussi quelques promoteurs (Certains prononcent également le nom d’une grande banque).

Veuillez agréer, monsieur, l’expression de nos salutations respectueuses.


P.J. :
- Une copie du courrier litigieux de la Préfecture daté du 07 octobre 2011 ;
- Un double original de notre plainte au Procureur du TGI de Créteil (94 000) datée du 12 novembre 2011.

dimanche 20 décembre 2009

Les Ripoux

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905,

Cessez un peu de nousparler du régime Nazi et balayez devant votre porte !



Qu’elle soit cérébrale ou matérielle,
la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)

GENS QUI RIENT. GENS QUI PLEURENT.
.





Les Ripoux


Desinstitutions fantômes (Del’encre noire sur du papier !)
Tout ce que l’on voit de l’Europe ne son que desimages.
Ponctuellement, les médiasproduisent un éclairage positif sur des institutions ou des administrations quine sont rien d’autres que des images.


Il faut seméfier des images.
Ces belles images masquent des fonctionnairesincompétents, intouchables, payés à prix d’or pour ne rien faire et deplus, toujours à la recherche de quelquechose à voler.

Ces fonctionnaires intouchables sont au service d’un systèmequi gagne à pourrir la vie du plus grand nombre.


Les Ripoux





Ces deuxflics n’ont pas de raison de s’inquiéter. Sous les ordres de leur patron, le Préfet, ils ont l’habitude defaire bien pire.



mardi 15 décembre 2009

ARGOTE et MILLOUR

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Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit cérébrale ou matérielle, 
la misère est le fondement de la société de l’argent ! 
(Le malade,  l’industrie première.) 

GENS QUI RIENT.  GENS QUI PLEURENT. 
.





Des institutions fantômes  (De l’encre noire sur  du papier !)  
Tout ce que l’on voit de l’Europe ne son que des images. 
Ponctuellement,  les médias produisent un éclairage positif sur des institutions ou des administrations qui ne sont rien d’autres que des images. 


Il faut se méfier des images. 
Ces belles images masquent des fonctionnaires incompétents,  intouchables,  payés à prix d’or pour ne rien faire et de plus,  toujours à la recherche de quelque chose à voler. 

Ces fonctionnaires intouchables sont au service d’un système qui gagne à pourrir la vie du plus grand nombre. 





ARGOTE et MILLOUR 
Première partie 



Les tours de passe-passe 


Avec la « construction de l’Europe »,  les consommateurs peuvent s’attendre à êtres confrontés à de nouvelles arnaques et à de nouveaux arnaqueurs. 


FRANPRIX  
Dans ce magasin FRANPRIX près de chez moi,  je n’y mettais plus les pieds depuis longtemps.  Les incidents aux caisses étaient fréquents.  J’en avais déjà subi deux. 

Par ailleurs,  le personnel parlait fort de problèmes qui n’avaient pas lieu d’arriver aux oreilles des clients.  Bref,  toujours des problèmes de caissières et de caisses. 

Ce jour-là,  je suis pressé.  Je n’ai que quatre ou cinq produits alimentaires à acheter,  je pense me dépanner.  Je fais ma première erreur en entrant dans ce magasin. 


Deux tickets de caisse 
Le tour du magasin est vite fait.  C’est à la caisse que cela se complique. 
La caissière semble perdue.  Elle cafouille un maximum.  Les chiffres,  les euros,  la caisse,  les codes barres,  la caissière nouvellement débarquée semble noyée au milieu de tout cela. 

Elle sort les tickets de caisse en veux-tu en voilà.  À l’époque,  ou tout au moins ce jour-là,  les tickets de caisse peuvent sortir indépendamment du paiement.  (Cela est courrant et normal dans d’autres commerces.) 

Finalement,  en mettant deux tickets bout à bout,  la caissière annonce un prix qui correspond à la valeur de mes achats.  Je paie,  la caissière me rend la monnaie. 
Au moment de partir,  la caissière me rattrape et me retire un des produits de mon sac.  Il n’est pas payé !  Me dit-elle ! 

Naturellement,  je suis pressé.  Pour quatorze euros,  je n’ai pas pris les deux tickets que la caissière a gardés.  Et,  il n’y a plus qu’un seul ticket. 

J’apprécie mal le tour de passe-passe.  D’autant que le produit litigieux est précisément un article présenté sous vitrine cadenassée.  C’est la caissière qui l’a sorti elle même et qui l’a passé,  devant moi,  au lecteur de code barres.  Bref !  Le ton monte. 


Trop c’est trop. 
La caissière vient de m’arnaquer et elle me fait passer pour un voleur.  J’en suis à mon troisième incident dans ce magasin.  Cette fois-ci,  c’est un préjudice matériel.  Trop c’est trop.  Je téléphone à la police. 

En faisant cela,  je fais ma deuxième erreur.  En effet,  je téléphone de mon portable,  le célèbre n° 06 15 58 74 15.  Je suis conscient de faire peut-être une erreur.  Mais,  ai-je le choix ? 


La police européenne en pleine action  
Dès le premier coup de téléphone à la police,  la caissière disparaît.  On ne l’a reverra plus.  Elle donne l’impression d’avoir un autre problème par ailleurs.  Visiblement,  elle n’a pas envie de croiser l’autorité policière. 

C’est le gérant qui,  ce jour-là est un remplaçant,  va prendre la place de la caissière.  Il n’était pas là au moment de l’incident.  Il n’a rien vu,  n’a rien entendu.  Mais,  c’est lui qui va témoigner et va tout expliquer. 

Pour ma part,  je suis conscient qu’en ayant utilisé mon portable,  j’ai pris un risque.  Je sais que dans la police,  la consigne « bouffer le requérant » peut être donnée rapidement. 
Quelques minutes,  un car de police s’arrête.  Il repart aussitôt sans que personne ne soit descendu.  Il s’est passé quelque chose. 


Je renouvelle mon appel.  « On envoie quelqu’un ! » 
Se passe un bon moment.  Apparaissent ARGOTE et MILLOUR. 
ARGOTE et MILLOUR,  c’est la police de proximité,  le fleuron de l’administration européenne.  ARGOTE et MILLOUR,  c’est un repère.  Plus en dessous,  tu passes pas.  (Mis à part peur-être les enseignants.) 

ARGOTE et MILLOUR sont à vélo.  Dans un premier temps on s’inquiète.  Mais rapidement,  on convient qu’il est moins risqué de confier des vélos à ARGOTE et MILLOUR plutôt qu’une voiture. 
En voiture,  il y aurait de sérieux risques.  Bien sûr,  ce ne serait jamais grave mais cela oblige à chaque fois l’autorité de tutelle,  le Préfet et le Ministre,  de monter au créneau pour relativiser l’incident.  (Du travail,  en quelque sorte.) 

Alors qu’en revanche,  si ARGOTE et MILLOUR tombent de vélo et passent sous une voiture ou un camion,  il suffit d’accuser le conducteur de ne pas être resté maître de la vitesse de son véhicule.  La suite n’est plus qu’une question de statistique. 

Nos deux policiers de proximité ont posé leurs vélos et sont entrés enfin dans le magasin FRANPRIX. 


D’emblée,  ARGOTE et MILLOUR sont à la case provoc.  
Il ne faut pas rêver.  Faire comprendre à ARGOTE et MILLOUR le coup du tour de passe-passe aux tickets de caisse.  Rien que d’y penser,  c’est grotesque. 

D’ailleurs,  ARGOTE et MILLOUR ne sont visiblement pas venus là pour comprendre.  D’emblée,  ils sont à la provoc.  Et là,  ils sont à leur aise.  Ils connaissent leur métier,  ARGOTE et MILLOUR.  Ils ont fait cela toute leur vie.  C’est plus facile de cogner sur quelque chose que de réfléchir. 

En premier lieu,  sans même m’avoir approché,  ils m’accusent de sentir l’alcool.  D’une certaine façon,  depuis un instant,  tout le monde sent l’alcool.  Mais je regrette !  Avant qu’ARGOTE et MILLOUR n’entrent dans le magasin FRANPRIX,  personne ne sentait rien. 


J’ai droit à une menace de mise en garde à vue.  (S’il vous plait.) 
C’est vraiment dommage que ce jour là je sois vraiment pressé.  Rien que pour comparer les alcootests,  j’aurais bien aimé.  De plus,  cela aurait aussi contraint les policiers à relever les identités de la caissière défaillante et de ce curieux gérant remplaçant de FRANPRIX. 


Le gérant explique.  
Il y a bien eu un deuxième ticket.  Mais,  ce n’était pas un ticket de caisse.  Il n’y a pas lieu de le comptabiliser.  C’est la caissière qui l’a fait sortir maladroitement après avoir passé l’article incriminé devant le lecteur de codes barres.  (Quand je vous dis que la caissière,  c’est une conne.) 

Les bras n’ont pas fini de m’en tomber que l’un des policiers s’est emparé de mes achats,  les sort du magasin et les jette le long du mur,  là où habituellement chacun vient faire pisser son chien. 

Les choses se sont passées très vite.  ARGOTE et MILLOUR enfourchent leurs vélos et disparaissent comme des voleurs.  Sont-ils pressés à ce point là ?  Ont-ils un rendez-vous ailleurs ?  En tout cas,  ma tête à couper, ce n’est visiblement pas un rendez-vous pour le travail ! 


ARGOTE et MILLOUR étaient bien trop satisfait.  
Avaient-ils obéi à une consigne ?  Ou,  dès cet instant,  savaient-ils déjà que leur intervention à ne rien faire venait de leur rapporter à chacun 400 euros. 
Alors que s’ils avaient travaillé,  ils n’auraient gagné que leur salaire. 

Comme on dit à la Préfecture : « 400 euros,  ça met du pastis dans l’eau ».  Vu de cette façon,  les fonctionnaires auraient bien tort de travailler. 

On comprend aussi la raison pour laquelle,  dans les quartiers sensibles de certaines banlieues,  la solution retenue sera de supprimer purement et simplement la police de proximité.  Les policiers faisaient de l’or.  Quant à la sérénité des habitants,  l’action de la police n’avait certainement rien de positif. 
Il est dommageable que les journalistes bien informés n’aient jamais le temps de nous dire tout cela.  (Mais,  un journaliste bien informé ?  C’est quoi ?) 

À une époque,  un certain candidat à la présidentielle,  nous avait promis de kärchériser la racaille. 
Il ne faut pas rêver.  Ce qui fait se déplacer l’électorat,  ce sont précisément les problèmes dus à la misère,  à l’insécurité,  aux désordres,  aux émeutes,  voire aussi au terrorisme.  En cela,  on ne gagne rien à valoriser les policiers intègres. 


Des denrées alimentaires FRANPRIX parfumées à la pisse de chiens.  
Des denrées alimentaire parfumées à la pisse de chiens,  très peu pour moi. 
Au total,  j’en suis pour un préjudice de 14 euros.  Quatorze euros,  quand c’est sur le compte du client,  ce n’est rien.  Inversement,  5 centimes d’euro,  tu ne sors pas vivant de la boutique. 

Néanmoins dans ce conflit,  ce qui paraît-être le plus préjudiciable est l’attitude de la police de proximité.  La police européenne en les personnes d’ARGOTE et de MILLOUR. 

Décision est prise de faire un signalement de l’incident au Préfet.  Dans la foulée,  un double de la démarche se transforme en plainte au Parquet. 
À propos du Parquet,  on ne se fait pas d’illusion.  À tous les coups,  la plainte du plaignant sera classée poubelle par le Procureur.  Mais,  on fait cela par principe. 


Des méthodes de l’ombre  
Dès cet instant,  tout va se jouer dans notre dos.  Bien naturellement,  le Procureur va classer la plainte.  Cela va lui permettre d’ignorer les faits et de bricoler le dossier à sa convenance. 
Ce n’est pas à un Procureur de la République que l’on va apprendre que les magistrats sont pénalement irresponsables de leurs décisions.  Et,  quand on peut rendre service à un copain … 

Par ailleurs,  vrai ou supposé,  les deux chéris de flics ne sont pas contents contre nous. 

Le Procureur  (Ou le Préfet)  engage une enquête de l’Inspection Générale des services.  (S’il vous plait !) 

Il est bon de savoir que la réalité des choses n’est pas ce que l’on nous apprend à l’école,  ni ce que l’on nous dit à la télé. 
Dans l’imaginaire collectif,  l’Inspection Générale des Service est une institution sérieuse,  irréprochable,  inaccessible à toute critique. 

Dans la réalité,  pour maintenir une bonne image à la fonction publique,  l’Inspection Générale des Service est contrainte,  en permanence,  de laver le derrière de la volaille mal-propre.  Et dans ce domaine,  on ne chôme pas,  à l’Inspection Générale des Services. 


Une enquête de curé 
Bien sûr,  le contenu de la plainte ne sera jamais pris en compte.  La plainte est passée à la trappe.  L’enquête repose sur la version imposée par le procureur.  (Ou le Préfet,  peut-être.) 

Quand on découvre la version imposée,  une enquête n’est même plus nécessaire.  C’est vraiment une enquête de pure forme destinée à étoffer un dossier convenu.  Rien de contradictoire,  pas de confrontation,  les jeux sont fait.  Personne d’autre qu’ARGOTE et MILLOUR ne sera entendu. 

Naturellement,  ARGOTE et MILLOUR sont d’accord avec la version du Procureur.  Une version dont on découvrira par la suite qu’ARGOTE et MILLOUR ne pouvaient avoir connaissance. 
Pourquoi s’embêter ?  Puisque pour rédiger un rapport à la lecture agréable au Préfet,  le témoignage de deux flics ivrognes suffit. 

On n’apprend rien à personne en affirmant que ce genre de saloperies orchestrées sous la responsabilité du Préfet est utilisé en justice. 

Ce que l’on sait moins,  c’est que quelquefois,  ces mêmes saloperies sont mises aussi entre les mains de médecins peut regardants,  médecins sans scrupules qui ne s’intéressent qu’à leur privilège et au profit.  Un énorme profit financier ! 

Dans un dossier,  il suffit d’un rapport médical supplémentaire pour coiffer le tout et le compte de l’intéressé est bon.  Le médecin enfonce le clou par un rapport médical bidon,  à l’image du reste.  Mais, rapport qui sera dorénavant le seul à être pris en compte. 

En médical,  ces saloperies mises bout à bout,  ce sont au total des milliards d’euros qui transitent par l’industrie du médicament avant d’aboutir dans les caisses loi 1905 des curés.  (La loi 1905 défiscalise les immenses ressources des curés.) 

Par le même circuit,  ces saloperies financent aussi des myriades d’entreprises associatives.  Entreprises associatives aux actions et aux buts les plus douteux et entreprises associatives sur lesquelles nous n’épiloguerons pas. 

Un grand merci à notre généreuse Sécu et à notre trop ignorée Aide Sociale. 

Fin de première partie